L’endométriose touche 1 femme sur 10. Maladie 100% féminine (forcément !) et parce que nous sommes le 8 Mars, journée de la femme, les homéo-experts ont décidé de mettre en lumière la campagne nationale sur l’endométriose.
L’utérus des femmes est « tapissé » d’un tissu appelé endomètre. L’endomètre est un tissu richement vascularisé.
Son épaisseur varie selon la période du cycle. Au moment de l’ovulation, le tissu est très épais dans le but d’accueillir un éventuel œuf. S’il n’y a pas eu de fécondation, l’endomètre se décompose et cela entraine les règles.
Les femmes atteintes d’endométriose ont ce tissu présent en dehors de l’utérus : dans les trompes par exemple ou dans le ventre (péritoine). Les tissus peuvent aussi atteindre l’appareil digestif, urinaire et plus rarement pulmonaire.
Ce tissu invasif est également réactif aux hormones et suivi le même cycle que celui présent dans l’utérus.
La présence de ces tissus entraîne des réactions inflammatoires, des kystes, … entraînant alors de fortes douleurs au moment des règles (dysménorrhées).
La douleur peut être également présente :
Ces douleurs sont accompagnées d’une fatigue chronique, d’une sensation de pesanteur pelvienne (lourdeur dans le ventre),…
« Les règles sont naturelles pas la douleur » Julie Gayet, Porte-parole de la cause, Elle N°3662 – Février 2016.
Toute femme en âge de procréer peut être concernée. Souvent la douleur est acceptée « comme une fatalité », la maladie n’est pas connue et pourtant 10 à 20% des femmes souffrent d’endométriose soit entre 2,1 et 4,2 millions de françaises.
L’endométriose a un impact important sur la qualité de vie des femmes. Une étude a démontré qu’une femme atteinte d’endométriose perd en moyenne 11 h 00 de temps par semaine.
En plus d’une douleur chronique ou récurrente associée à une fatigue régulière et des problématiques sexuelles, l’endométriose entraîne 30 à 40% d’infertilité.
Il existe des solutions. L’objectif premier est de se faire diagnostiquer donc ne plus accepter comme une fatalité d’être clouée au lit, percluse de douleurs ! Bref, dire NON aux règles douloureuses.
Une fois le diagnostic posé et l’étendu de l’endométriose analysé, des solutions peuvent être proposées :
Comme dans toutes maladies, plus le diagnostic est posé tôt, mieux c’est !
Si vous souffrez, ou si votre fille a des règles douloureuses, consultez votre gynécologue.
En savoir plus :
Lisez l’article : elle.fr du 28 Fév. 2016 – “Endométriose, la fin d’un tabou”
Lisez l’article : lemonde.fr du 07 Mars 2016 – “Endométriose, une maladie qui touche 1 femme sur 10”
Participez à la marche du samedi 19 mars prochain (Association ENDOmind)
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